On a envie de dire, oui oui Cédric, d'accord oui oui, on a bien compris que ces gens-là sont la lie de l'humanité, ça va aller maintenant. Enfin c'est sur un final complètement improbable mais assez étonnant, il faut bien l'avouer, que s'achève Ma part du gâteau. Je ne suis pas du genre à dévoiler la fin du film, mais pour celui-là je m'autoriserais juste à dire que la lourdeur et le peu de subtilité avec laquelle elle est amenée éclipse presque totalement une morale assez pessimiste mais pas si stupide, dont la relative finesse manque à tout le reste du film.
je le conseille tt de meme, on rit, on s'indigne qq fois.. à chacun son point de vue! nena75 Chachou312 Vous pourrez lire ma nouvelle critique qui concerne Ma Part du Gâteau sur Les Critiques de Cha:...... A bientôt! judeyves Pas mal! les acteurs sont excellents; on ne s'ennuie pas! finalement "assez dramatique"; un film que l'on peut attendre de voir à la télé. Johnny B. je le verrai avec plaisir et Karine Viard est une actrice qui ne fait pas de bruit, mais qui est toujours crédible dans ses rôles. J'aime un peu moins Gilles Lellouche, mais j'attends de voir "A bout portant" liplip21 Juste un mot FUYEZ; Vraiment très déçu, juste une succession de clichés, scénar aussi plat qu'un billet de banque, Lellouche et Viard remplissent leurs contrats mais cela reste lisse, une mention spéciale pour le p'tit bout qui joue le fils du trader. Bref je me suis vraiment ennuyé...... Par contre courrez voir True Grit Voir les commentaires
Il n'y a que deux phrases intelligentes dans « Ma part du gâteau »: celle où Steven explique combien le principe de shorter des actions est fou, et celle où il dit qu'il ne peut pas être le seul responsable de la situation des gens. Malheureusement, la première n'est jamais développée et est noyée dans le discours contre la finance tandis que la seconde est présentée comme un argument félon destiné à permettre au personnage de Gilles Lelouch de s'extraire de la justice punitive. On repense alors à la pédagogie de « Cendrillon », roman de Eric Reinhardt, qui sans jamais alourdir son histoire, vulgarisait les aberrations du monde de la finance et la nécessité de contrôler le monstre, et on reste coi devant ce film qui mélange le « je » et l'entreprise. Pour le reste, il faut voir le mépris avec lequel est traité le désespoir et comment la tentative de suicide d'une mère de trois enfants devient une anecdote qu'on oubliera en chantant devant un fer à repasser. Ici la détresse humaine n'est que prétexte et les classes sociales sont définies à coup de hip hop et d'alcoolémie au volant.
Des infos en vrac glanées à l'avant-première: - Klapisch a choisi de tourner à Dunkerque parce qu'il se fait un gros trip sur les containers, il voulait absolument caser ça dans un film - Sans spoiler la fin du film, il faut savoir que tous les grèvistes qu'on y voit sont les VRAIS gens qui bossent là-bas, et pas juste des figurants. - Ya d'autres trucs intéressants que Klapisch nous a dit sur la fin, mais je n'en dirais pas plus sous peine de spoil