Je suis une vilaine frustrée... Pourtant je sais que c'est pas parce qu'elles sont enceintes que ça m'empêche de l'être... ) Pourtant j'adore les enfants (d'ailleurs je suis Prof des Ecoles en maternelle), à partir de 3 ans c'est hyper attachant et intéressant, je les trouve trop mignons, je suis très câline avec eux etc. La perspective de la grossesse ne me réjouit pas forcément non plus (être malade, se priver, être inquiète... ). (Alors vous me direz, pourquoi ne pas adopter? Non, je veux que ces enfants soient "génétiquement" les nôtres, qu'ils nous ressemblent. ) Est-ce arrivé à quelqu'un? Est-ce "normal" de ne pas être attirée par les nourrissons? Change-t-on d'avis en devenant maman? Est-on une "mauvaise maman" si on n'aime pas les bébés? Peut-être que quand je serais "directement" concernée, je changerai d'avis.... je l'espère... Mon bébé ne m'aime pas. Merci de m'avoir lue...
» C'est une blague? De notre côté, on n'a pas trop l'habitude des enfants mais ce n'est pas pour ça qu'on shoote dans leurs petites jambes. On rêve! #RéveillezVousLesParents Ils viennent même au travail Qui pense « travail » pense « monde des adultes » et donc interdit aux enfants! On n'aurait pas idée d'aller avec ses mômes au Salon de l'érotisme, n'est-ce pas? Et ben ça devrait être pareil au travail car il n'y a rien de plus insupportable qu'un collègue qui amène son fils parce que la maîtresse est malade. Je n'aime pas les enfants ??!!!? pkoi? - [Mieux se connaître] les Forums de Psychologies.com. Entre les « je m'ennuie », « c'est quand qu'on mange? », « tu joues avec moi? » ou « devine quelle est ma couleur préférée? », adieu la concentration dans l'open-space. Et quand nos collègues ne viennent pas avec leurs rejetons, ils se sentent obligés de nous raconter leurs vies et de nous montrer des photos. Comme si ça nous intéressait… Je ne m'amuse pas à parler de la vie de mon chat Popeye et à montrer les selfies que je fais avec lui. Alors chers collègues, sachez-le: on s'en fout de la vie de vos enfants.
Pour de nombreuses femmes, il est très difficile de parler ouvertement de leurs sentiments à l'égard de la maternité, surtout s'ils sont négatifs, parce qu'elles craignent de se sentir jugées ou simplement parce qu'il n'est pas normal qu'une femme qui attend un bébé ne ressente pas tout ce qui était attendu. Le post-partum est un étape d'adaptation à bien des égards: changements physiques, changements émotionnels, changements de routine, changements chez votre partenaire... s'ajoutent à la pression sociale pour redevenir la même personne que vous étiez dès que possible. Tout cela provoque de la frustration et vous vous demandez si vous faites les bonnes choses avec votre bébé. Il est même possible que vous ne l'appréciez pas et c'est ce que nous verrons ensuite. Je n aime pas les bébés plus. La frustration dans la maternité fait proliférer d'autres types de sentiments et d'émotions, comme la tristesse ou d'autres préoccupations qui nous font n'aimer nos bébés. Et, comme nous l'avons déjà mentionné, c'est assez souvent le cas, même si personne ne vous l'a déjà dit.
". Alors qu'en vérité, ça arrive à beaucoup de parents pour différentes raisons. > Quelles sont les probables causes? Je n aime pas les bébés que. Beaucoup de mères ne connectent pas avec leurs bébés après l'accouchement, et beaucoup de pères n'arrivent à prendre leurs bébés dans les bras qu'après des mois et de nombreux parents ne ressentent pas d'affection ou de fierté envers leurs enfants. Les causes sont différentes: - La dépression postpartum L'effet de la dépression postpartum sur les émotions et le comportement des nouvelles mamans est très réel. Certaines mamans n'arrivent pas à prendre leur bébé en main et d'autres ne veulent même pas le voir. Heureusement que la médication et la thérapie psychologique comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) peuvent résoudre le problème. - Enfance agitée Le manque d'affection envers son propre enfant n'est pas un trouble psychique, mais la cause peut l'être. Dans beaucoup de cas, l'origine du problème se trouve dans l'enfance du parent qui a été maltraité, négligé ou abusé.
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