L'adolescente aurait subi des abus sexuels pendant de longues heures. Une adolescente fréquentant l'Institut des Sacrés Coeurs, à Waterloo, a disparu de longues heures, après les cours, une fin d'après-midi de la semaine passée, et n'a été retrouvée que le lendemain aux petites heures, errant dans Waterloo, en partie dévêtue, après avoir subi des abus sexuels. Premier substitut au parquet de Nivelles, Eric Janssens se dit "personnellement retourné par cette affaire". D'autres nuancent en fonction du contexte particulier dans lequel selon eux les faits auraient eu lieu. Toujours est-il que la rumeur enfle à Waterloo. Et que le parquet de Nivelles, qui invite à la prudence, a pu nous confirmer que l'affaire était confiée à un juge d'instruction, depuis déjà la semaine passée. Jeune fille abusee porto vecchio corse. La police de Waterloo se refuse à tout commentaire. En rien responsable dès lors que les faits ont eu lieu à l'extérieur et après les heures de cours, l'établissement est néanmoins informé. Lui aussi se refuse à tout commentaire "pour ne pas entraver l'enquête" et "préserver la jeune fille".
Soulagée après s'être confiée à ses proches, l'expérience vécue a en revanche eu de nombreuses conséquences sur sa vie, "que ce soit dans mon intimité ou dans ma manière de faire confiance aux autres", sans compter "les crises d'angoisse". Car, martèle-t-elle, " ces personnes là ont clairement abusé de ma confiance et m'ont fait croire que c'était un choix de ma part ". Face à la procédure judiciaire enclenchée, la jeune femme explique avoir "très peur" mais vouloir "que ces gens-là soient punis parce qu'ils ont fait du mal autour d'eux et ne savent pas à quel point". Elle espère également que son témoignage pourra servir à d'autres victimes. DOCUMENT RTL - Viols dans la pornographie : "Ils ont abusé de ma confiance", confie une victime. "Au début, je ne me considérais pas comme victime, mais je me suis aperçue au fur et à mesure que j'en étais une aussi ". "J'aimerais que les autres victimes se manifestent parce que je pense que cela pourrait les aider. Il faut qu'elles prennent leur courage à deux mains et qu'elles sachent qu'elles ne seront pas toute seule", assure-t-elle au micro de RTL.
Actualisé 7 août 2018, 15:12 Une enfant a été contrainte à un rapport par un garçon de 12 ans, sexuellement troublé. La maman de la victime attaque le foyer et la protection des mineurs. Le Service de protection des mineurs. DR Une fillette de 10 ans, souffrant d'un retard mental «léger à modéré», a été forcée d'entretenir un rapport intime dans un foyer genevois. Comment une bande d’ados en arrive à violer une très jeune fille - La Libre. Son agresseur? Un jeune de 12 ans, reconnu coupable de contrainte sexuelle par le Tribunal des mineurs, révèle la «Tribune de Genève». La mère de la victime, une irakienne de 44 ans, a porté plainte contre trois éducateurs du foyer genevois, et deux membres du Service de protection des mineurs (SPMI). Selon elle, les précautions nécessaires n'ont pas été prises pour empêcher le garçon de nuire. La mère avait accepté de renoncer à la garde de sa fille et de la placer en foyer, comme suggéré par les services sociaux, parce qu'elle n'était pas assez présente et cadrante. Elle enchaînait notamment un travail à 100% et des ménages le soir.
Aritcle écrit par Alice Hérait @AliceHerait
Publié le 20-05-2019 à 19h55 - Mis à jour le 21-05-2019 à 14h02 Viol collectif sur une mineure diffusé sur Snapchat Chaque semaine, 4 viols collectifs sont déclarés en Belgique. Souvent, auteurs et victime se connaissent. Sept jeunes Liégeois, âgés de 13 à 18 ans, ont été interpellés dans le cadre d'un viol collectif filmé et diffusé sur le réseau social Snapchat. Violée, elle demande de l'aide à un automobiliste… qui... - Closer. Les faits se sont produits il y a un mois et demi, à Chaudfontaine....
Idem quand, quelques mois après le viol de la petite, un autre garçon s'en est pris sexuellement à deux petites filles de 8 et 11 ans. Selon le procureur, ces actes sont imprévisibles et ne peuvent êtres imputés aux employés du foyer et du SPMI. La mère de la victime et son avocat ont recouru contre son ordonnance de non-entrée en matière.